Projet 365
La vitesse d'obturation |
1/400sec |
Ouverture |
f4 |
Iso |
250 |
Longueur de focale | 75mm |
Flash |
Aucun |
Compensation | Aucun |
Le corps humain présente plusieurs zones où se trouvent des crêtes papillaires : la paume des mains, les doigts ou la plante des pieds. Ces crêtes papillaires sont en relief sur la peau et peuvent laisser des marques sur des supports. On parle de traces ou d’empreintes digitales, deux termes qui n’ont pas la même signification pour les policiers scientifiques.
Empreintes digitales
La trace est la marque, visible ou invisible, laissée par les crêtes papillaires sur un support. Lorsqu’un malfaiteur manipule un objet sur les lieux d’un délit ou d’un crime, il peut laisser des traces digitales (doigts) ou palmaires (paumes).
L’empreinte est le résultat de l’apposition complète des crêtes papillaires après encrage de celles-ci. Les empreintes d’un délinquant sont prélevées lors des opérations de signalisation effectuées dans les locaux de police.
Les traces et les empreintes digitales répondent parfaitement à deux objectifs de la police scientifique : la reconnaissance des emprunts d’identité ou l’identification des récidivistes et l’identification des malfaiteurs à partir de leurs traces laissées sur les lieux d’un crime.
Mais comment classer des empreintes digitales et identifier un récidiviste ? Avons-nous tous des empreintes digitales différentes ? Quelle est la composition d’une trace digitale ? Comment révéler une trace digitale et comment l’exploiter ? Toutes ces questions se sont posées au cours du siècle dernier et ont donné naissance à la dactyloscopie (étude du dessin papillaire des doigts).